Dans ce blog au moins trois "navigateurs du froid" de ma connaissance ont été mentionnés à plusieurs reprises, soit par leur nom soit par celui de leur bateau:
- Barrabas (le bateau d'Adrian Flanagan) qui a fait en solo un tour du monde par le Horn et le détroit de Bering.
- Malou qui préfère les iles du sud et est un OVNI 43 avec un mombre de liles impressionant sous sa dérive.
- Chamade, qui à fait le passage du Nord-Ouest sur un ONVI 36 et en a fait un livre: Quand le Pôle perd le nord - Sylvie Chen, Marc Decrey - Slatkine.
Skip Novak qui est le skipper des bateaux "Pelagic" à Ushuaïa et est un intervenant régulier sur Yachting World vient de faire un "papier" sur le sujet.
On le trouve, comme beaucoup d'autres, sur le serveur web du journal.
Skip fait un inventaire simplifié des des iles et territoires pour les quels les régulation concernant l'accès (chose déjà mentionnée dans le blog) et la "paperasse" deviennent plus en plus envahissantes pour ceux qui veulent explorer ces "coins perdus" et y gouter un sentiment de liberté.
Ces régulations ont apparement 2 causes principales: l'écologie évidement mais aussi la protection des territoires et de leurs ressources naturelles, économie oblige.
C'est en anglais, bien sur, mais cela vaut d'être lu.
Une chose qui n'est jamais mentionnée ou presque, sachant que "pour faire du bateau il faut rester sur le bateau", c'est le risque d'hypothermie en cas de chute par dessus bord, attaché ou pas.
C'est la raison pour laquelle je joint le petit graphique du début et recommande la lecture de l'article La survie en eau froide de la Société Internationale de Sauvetage du Léman.
C'est très bien fait et le site est une vraie mine d'informations utiles qu'il faudra que j'ajoute à l'onglet "liens et adresses"
Si le fichier n'apparait pas sur la page il peut être téléchargé en entrant "SISL, la survie en eaux froides" dans Google.
A suivre ...
Les commentaires sont bienvenus, merci./
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