Suhaili au Quai Garnier le 11 novembre 2012 Il y avait Joshua à coté, mais le temps que je récupère mon appareil photo sur H2, il était parti, dommage! |
Classement de l'époque était:
- Robin Knox-Johnston sur Suhaili en 313 jours, seul vainqueur, Moitessier ayant abandonné à l'entrée dans l'Atlantique sud pour repartir vers Tahiti, ce qui a fait sa légende.Abandons
- Alex Carozzo sur Gancia Americano
- John Ridgway sur English Rose IV
- Chay Blyth sur Dyticus
- Loïck Fougeron sur Captain Browne
- Bill King sur Galway Blazer II
- Nigel Tetley sur Victress
- Bernard Moitessier sur Joshua
Disparitions
- Donald Crowhurst sur Teignmouth Electron
Cette fois ci ils seront plus nombreux, et plus expérimentés ... dans l'ensemble.
En fait ils seront 30. C'est le nombre retenu à cette date.
L'un d'eux ne participera probablement pas: l'Australien Shane Freeman qui à démâté au large du Chili avant de passer le Cap-Horn pour rejoindre l'Angleterre au départ de Melbourne.
Un petit article sur le sujet se trouve dans la dernière édition d'avril e Yachting World, en page 11.
Le site web très bien fait s'appelle "GoldenGlobeRace".
On y trouve tous les détails (parcours et règlement bien sur) et la liste sdes participants et à ce jour (28-02-2017) il y a deux français.
Le lancement officiel pour la France à eu lieu au Nautic en décembre , en présence de Sir Robin, ainsi qu'on l'apprend à la lecture de l'article dans le numéro de mars de Voiles Magazine.
Armel le Cléach, le plus rapide du dernier Vendée Globe aura mis 74j 3h et quelques minutes là où Sir Robin avait mis 313 jours:.
Comme dirait Fabrice Luchini:
"C'est ENORME, ENORME, énorme !...
Oui, en fait ça l'est.Combien de temps vont mettre ces navigateurs, va être l'objet de quelques paris et on ne sait pas encore si Virtual Regatta permettra une compétition virtuelle.
Avec des bateaux à quille longue, de moins de 40 pieds, sans électronique autre que celle dévolue à la sécurité (dont une BLU dont l'usage est restreint) mais qui pourront générer de l'électricité avec des panneaux, une éolienne ou un hydro-générateur il ne faut pas attendre qu'ils battent les skippers des IMOCAs à foils bien sur.
Cependant ce sera ENORME, pour reprendre Fabrice Luchini.
Enorme dans un autre sens et pour bien voir la différence il faut peut-être lire ou relire les ouvrages qui décrivent cette course des années 60 qui a révolutionné le monde de la voile 'non commerciale'
.
J'en connait et ai lu quatre que voici dont deux en français et à par le premier "A voyage for mad men" tous ont été écrits par les navigateurs eux-mêmes.
Il y en a surement d'autres mais je ne les connait pas, en français en particulier.
Bonne lecture.
Les commentaires sont bienvenus, merci.
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