L'ALU bien présent dans la presse nautique française de septembre.
Il m'arrive rarement d'acheter toute la presse en un seul coup. Plusieurs raisons à cela, la première étant que je suis abonné à certains, bien sur ...
Ici je me contenterai de trois périodiques:
Voiles et Voiliers (V&V),
Voile Magazine (VM) et enfin
Bateaux (Bx) dont j'aime bien la nouvelle forme bien que maintenant elle ne soit plus très récente.
Pour en arriver à l'Alu, on le trouve dans tous les numéros.
Dans V&V en premier avec l'essais du Garcia 45 Exploration de Jimmy CORNELL , cette fois ci se déroule dans la mer de Baffin puisque le projet est le passage du Nord Ouest alors que l'essais qui était paru dans Yachting Monthly et que je mentionnais dans un posting précédent se déroulait en Manche principalement.
Manifestement le nouveau bateau du "pape de la grande croisière" fait l'unanimité, même si on arrive à lui trouver des améliorations possibles: normal, un bateau est un ensemble de compromis entre l'idéal et le possible en fonction du programme de la sécurité et des finances, quoi que dans ce cas les finances n'aient pas du être le facteur limitant majeur.
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On retrouve ce bateau dans les pages de pub dans les quelles est également annoncé un 52 pieds et également page 65 de Bateaux pour un petit encadré et dans V&V, page 42, dans liste des 13 bateaux qui attendent le départ de la 'Dernière Frontière' pour reprendre le titre de cet article.
On retrouve aussi l'Allure 39.9 que l'on pourra voir à la Rochelle au Grand Pavois, en compagnie de son 'grand frère' le 45.
Dans VM et Bx se trouvent les essais en mer du
Cigale 18 du Chantier
ALUBAT pour le quel j'ai déja fait plusieurs postings qui permettent de le suivre depuis les premières phases de sa construction
jusqu'à sa mise à l'eau.
Les deux papiers (4.5 pages pour Bx et 4 pages pour VM) sont richement pourvus en photos et mettent bien en évidence les qualités de navigation de ce bateau manifestement fait pour la croisière hauturière rapide avec des vitesses qui s'étalent entre 9 et 15 noeuds en fonction l'allure et avec à peu près 20 noeuds de vent.
Tous deux mettent en évidence la qualité de la chaudronnerie, de la menuiserie et de la finition ou des équipements du bateau même si certains éléments voulus par le propriétaire peuvent être discutés. Là encore, on à la preuve qu'un bateau est un cocktail de compromis mais le le cocktail peut être tout à fait réussi.
Peut être le Cigale 18 sera t'il visible à la Rochelle pour le Grand Pavois, ce serait une bonne chose pour le chantier et pour les OVNIstes qui pourraient alors voir ce que le chantier peut réaliser dans d'autres gammes que celles bien connues des OVNIS.
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Dans Bateaux, un autre voilier Alu:
GWEN MOR, un monocoque de 20 mètres qui vient de terminer une croisière de Bretagne en Norvège et retour.
| Ce qui est spécial sur ce bateau, c'est qu'il a été construit en 4 ans à partir d'une coque qui a remporté 2 victoires dans le Vendée Globe et le Trophée Jules Verne avant que Jean-Claude Féru ne lui redonne une nouvelle vie avec du matériel (mat, bôme, winches etc ...) provenant d'autres unités skippées par Alain Gauthier, Francis Joyon, Bruno Peyron ou Titouan Lamazou.
Du 'pas classique' en somme et un article, en deux parties à lire, à une époque où les destinations 'grand froid' (Nord ou Sud) sont à la mode, notamment le passage du Nord Ouest entre le Groenland et l'Alsaka.
Il est surprenant de noter que la traversée par l'Océan Arctique au Nord de la Russie, depuis le détroit de Behring jusqu'à Mourmansk, semble n'avoir été faite (en solitaire de plus) que par Adrian Flanagan, peu connu et jamais cité mais c'est un récit que l'on peut lire dans 'Over the Top'.
La raison en est peut être que les autorisations à obtenir pour naviguer 'solo' dans les eaux Russes sont difficiles à obtenir et que la distance est notablement plus longue: le doube.
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| Enfin, toujours dans V&V, page 64, dans les pages consacrées aux Salons Nautiques de Cannes et de la Rochelle voici apparaitre le BOREAL 52.le bateau amiral de la 'famille' issue du chantier de Tréguier.
Lui aussi, manifestement est taillé pour la croisière et le voyage dans les Hautes Latitudes.
Centrage des poids, portes étanches, chauffage, dog house (pour ne pas dire poste de pilotage interne), réservoirs eau et gasoil de grande taille, voila de quoi tenir la dragée haute au Garcia 45.
Des programmes peu différents, des concepteurs expérimentés et on fini avec des bateaux entre les quels il est difficile de choisir et dont les qualités relèguent à l'état de détails mineurs les critiques que l'on peut leur faire.
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Voir ces bateaux à La Rochelle va être intéressant mais suivre leur 'futur' sur les océans le sera surement encore plus.
Reste le Chantier
META de Tarare.
Là, pas d'image, pas de 'papier'. Juste l'encart publicitaire pour le chantier et le STRONGAL ainsi qu'une photo du
Sainte Marthe 33.
Réservé aux 'connaisseurs' ...
A suivre ...
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