Photo de l'article paru dans Ouest France du vendredi 06 septembre.
Triste de voir le nom emblématique du premier fabriquant français de dériveurs intégraux en Aluminum risquer de disparaitre.
Certes la crise est passée par là et les acquéreurs potentiels sont pour le moins frileux, quel que soit le bateau ( sauf peut être les unités les plus chères et les plus grosses), mais le chantier possède un savoir faire unique qu'il serait dramatique de perdre...
Combien de centaines d'OVNIs sur toutes les mers et océans du globe risquent ils de se trouver orphelins?
Définitivement une histoire à suivre car il suffirait de quelques commandes pour maintenir le chantier à flots.
A suivre aussi sur le site de l'OVNI CLUB
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