The Clipper Race.

La Clipper Race, c'est quelque chose que j'ai déjà abordé dans ce blog.
Je l'ai fait parce que:

Avec le Global Challenge se sont deux courses autour du monde, en équipage, aux quelles participent des amateurs. Je ne connais pas d'équivalent français. David, un de mes équipiers de l'ARC 2011 en avait fait l'étape Buenos-aire - Auckland: passage du Cap Horn dans le bon sens. Darren, mon autre équipier de 2011 se prépare pour être le skipper d'un des bateaux de la prochaine édition. Deux des bateaux étaient à Ste Lucie lors de l'arrivée de l'ARC 2011. Adrian Flanagan, dont j'ai déja parlé à propos de son livre Over the Top, et que je rencontre de temps en temps en a, lui aussi fait une étape. Dee Caffari a skippé un de ses bateaux avant de faire sur l'un d'eux sont Tour du Monde en solitaire dans le sens Est-Ouest. J'en avait vu les affiches dans le métro de Londres lors de récents voyages.

Les 12 bateaux de l'édition 2013-2014 ont terminé leur périple et arrivent à Londres ce week-end et seront accueillis par Sir Robin Knox Johnston, cérateur de l'épreuve et 'Dame' Ellen McArthur.
Ce qui, je pense, rend cette course spéciale c'est qu'elle n'est pas 'non-stop', en effet les escale de cette édition étaient Rio de Janeiro, Cape Town, Australia, Singapore, Qingdao - China, San Francisco, Panama, Jamaica, New York, and Derry Londonderry.
Ensuite seul le skipper est un 'pro' et l'équipage est constitué de personnes dont un peu moins de la moitié n'avait jamais navigué avant d'être retenues et de 'subir' les semaines d'entrainement.
Enfin parce que les bateaux sont tous identiques: des monotypes en acier de 60 pieds dans lesquels tout est manuel et que cette course n'a rien, mais absolument rien, d'une croisière.

Dans Yachting Monthly, une brève sur le retour de flotte au St Katharine Docks à Londres.