Et bien malgré les différents contrôles et manipulations faites, le radar est toujours invisible.
- L'alimentation électrique est OK.
- La transmission des data se fait apparement correctement si l'on en juge par les diodes;
- Pas de corrosion.
- Pas de rupture de la courroie.
- La poutre est en bon état, ne s'est pas déplacée mais ne tourne pas.
Le radome a donc été descendu et part au support après vente de Furuno: croisons les doigts pour qu'ils trouvent et que cela ne soit pas trop long.
A part cela les reservoirs d'eau ont été vidés, nettoyés, brossés, aspirés et sont laissés vide en attendant d'y installer les anodes en magnésium.
Elles seront fixées sur les cloisons internes, le plus bas possible, avec des écrous alus trouvés sur le site FixnVis déja mentionné. Je pense que je mettrais 2 anodes par réservoir, c'est à dire une par compartiment.A noter que, si il y avait des sels d'alumine dans le fond et sur les parois des réservoirs, il n'y avait aucune trace de corrosion, aucun petits cratères comme il en a été signalé ailleurs. De ce point de vue les réservoirs sont intacts ce qui est une bonne surprise compte tenu du nombre important de postings sur les différents forum qui signalent divers degrés de corrosion qui ont même fait parler de "bombe à retardement".
Il y assurément une raison (pas forcément évidente et par forcément unique) à cette différence suivant les bateaux: qualité de l'eau, précautions prises, qualité des panneaux d'aluminium, propreté des réservoirs lors du premier remplissage?
De mon point de vue personnel cela tient probablement au fait que l'eau a toujours été filtrée pour enlever le chlore lors du remplissage: filtre coton 5 microns, filtre charbon, filtre anti-calcaire ou que l'eau était osmosée.
A suivre...
Bonjour,
RépondreSupprimerVous soulignez dans un article un changement positif dans la gestion d’Alubat depuis l’arrivée d’un nouveau directeur général. Effectivement, voila ce que j’ai vécu récemment (avril 2017) à l’occasion de l’achat d’un OVNI d’occasion de 2005 avec une réactivité étonnante des cadres et des employés d’Alubat.
Le samedi de Pâques, lors de la sortie d’eau du bateau, l’expert maritime découvre un petit problème à la fixation de la drosse de remontée de la dérive. Il faut faire intervenir un chantier. Mais comment faire avec le long week-end de Pâques ?
Nous tentons d’appeler Christian Picard, le DG d’Alubat le samedi midi. Accueil chaleureux, il nous promet qu’une équipe sera avec nous mardi matin (lundi de Pâques est férié).
Thierry Leprince, le responsable du service après-vente d’Alubat, nous rappelle durant le week-end et nous demande des détails sur le problème. Le mardi matin deux employés d’Alubat, Fabrice et Franck, sont là et démontent la dérive qui part au chantier pour lui refaire une jeunesse. Trois jours plus tard la dérive, réparée et repeinte, est remontée à sa place avec de nouvelles drosses par Thierry et Manu. Nous mettons le bateau à l’eau et partons faire une petite sortie avec eux, juste pour le plaisir de découvrir le bateau. C’est extra car ils nous aident à prendre en main le bateau, le propriétaire ayant du repartir pour de nouvelles aventures sur un autre OVNI.
Du coup, le lendemain nous allons au chantier Alubat que nous ne connaissions pas. Manu nous fait visiter le chantier en nous expliquant les différentes étapes de construction et nous donne plein de conseils. Nous découvrons qu’Alubat a un stock impressionnant de pièces détachées, suivi par Pierre-Yves, sur les nombreux éléments des bateaux anciens ou récents. Ils ont même la petite charnière d’origine pour les coffres qui n’est pas facile à trouver chez les schipchandlers !
Les employés d’Alubat que nous avons vu au travail ont une manière forte de parler de la fierté qu’ils ont à peaufiner leurs bateaux. Il faut entendre par exemple David expliquer les redressements des coques après soudure ou les astuces pour réussir les courbes du roof ou du cockpit. Ou Denis passer la main sur la table du carré qu’il a faite il y a 12 ans. Ils n’attendaient qu’un nouveau DG pour exprimer leurs potentiels d’artisans passionnés.
Etonnant et super efficace !
Un téléphone très utile : Thierry Leprince, responsable du service SAV d’ALUBAT : 06 63 57 27 94
Bonjour,
RépondreSupprimerMerci d'avoir laissé ce commentaire sur le site.
Effectivement il décrit très bien la nouvelle philosophie du chantier et le sérieux qui a été mis sur la prise en compte des attentes des OVNIstes.
C'est un nouvel 'état d'esprit' au niveau de la direction actuelle car pour les 'gens' du chantier, ceux qui construisent et réparent/entretiennent les bateaux qui leur sont confiés il en a toujours été ainsi.
Mais ceux là, les 'clients' ne les voyaient pas, sauf sur place et à condition d'aller dans les ateliers parler avec eux.
Thierry qui a repris (et repris en main) le SAV est compétent, sérieux, fiable, motivé et a la confiance de ses équipes.
Manu connaît parfaitement les OVNIs et leurs petits secrets cachés et si il ne sait pas tout réparer il sait qui le fera.
Laurent, que vous n'avez probablement pas rencontré est entre autre l'expert électricité, moteur et hydraulique.
Pierre-Yves, très orienté qualité, gère le magasin et les appros et si il n'a pas la pièce dont vous avez besoin, en général, il sait où la trouver.
Et puis il y a tous les autres que l'on ne rencontre jamais lors du premier contact: menuiserie, chaudronnerie, peinture qui sont des experts de leur métiers et ont presque toujours la bonne idée ou la bonne solution pour améliorer l'existant.
Ce qui a changé c'est l'esprit de la direction, de Christian Picard et du Comité de Direction qui on décidé de mettre en évidence et d'exploiter les compétences et la motivation des employés du chantier, de se focaliser sur la relation avec le client et cela fait toute la différence.
Merci de ces informations positives, qui donnent de l'espérance.
RépondreSupprimerDaniel Leplaideur 0VNI 345 (1998 révisé en 2012 par Alubat) LUCRECE Hendaye