Çà change des dernier hivers bien chauds et bien ensoleillés passés aux Caraïbes, quoi que pour les périodes durant lesquelles nous sommes rentrés en France il ait fallu 'hiverner' aussi, donc une fois au sec à Ste Lucie, mais c'est vraiment différent.
Cette fois ci tout a été enlevé. |
D'autres choses restent à faire comme finir les reprises de peinture sur la jupe arrière mais c'est impossible actuellement (voir plus bas), mettre en place deux mains courantes en avant du mat pour y poser l'annexe pliée durant les traversées sans quelle soit posée directement sur le pont. Pour ceci une alternative serait de la mettre dans un coffre de toit et je crois que j'en ai trouvé un de bonnes dimensions sur le web.
Restera à savoir si on installe un pare-brise en dur du style de ceux proposés par Lange-Maritime qui équipent les OVNIs scandinaves ou si cela peut peut être réalisé localement. J'ai vu un prototype fait pour un OVNI voisin, cela paraît séduisant mais j’attends de le voir fini car c'est très différent. Dernière option, laisser la capote actuelle qui vient d'être révisée et renforcée par Klein.
Comme nous avons changé de ponton, pour passer d'une place devant la capitainerie à une sur le premier ponton à l'entrée du port, nous y avons perdu en confort (être près des sanitaires est un gros avantage) mais nous y avons gagné en terme de propreté, au moins pour ce qui est de l'eau. Face à l'entrée il n'y a plus d'accumulation de gasoil entre les pontons et la quantité de déchets de toutes sortes qui flottent entre pontons et catways et bien moindre, pour ne pas dire nulle. De ce fait la coque reste propre ce qui avant était absolument impossible. Il y a cependant un inconvénient: plus près des silos à grain et de la zone de déchargement des camions, la quantité de 'bourre' de blé, de maïs ou de tout autre céréale deversée par les dits camions à partir de 7h du matin et qui se dépose sur les bateaux est effrayante: cela recouvre tout, s'insère partout, fermente et fini par dégager une odeur désagréable. A cela viennent s'ajouter les déjections des mouettes et depuis 2 ou 3 ans de celles de colonies de bergeronnettes, bien plus difficiles à nettoyer. | |
Manifestement, 'on ne peut pas tout avoir, mais cela n'est pas nouveau.
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