Pauline, qui vit en Russie avec ses parents et étudie à l'Institut Vétérinaire de Moscou passe ses vacances à Port Bourgenais sur le "Class 8" de ses parents et fréquente le Club Nautique de Port Bourgenais.
Surfeuse convaincue, et parlant couramment trois langues elle était en charge des contrôle de jauge des minis de la course, traduisait pour les coureurs étrangers puis nous a accompagné à travers le golfe.
Elle a bien voulu faire ce 'posting' pour le blog et je l'en remercie.
Surfeuse convaincue, et parlant couramment trois langues elle était en charge des contrôle de jauge des minis de la course, traduisait pour les coureurs étrangers puis nous a accompagné à travers le golfe.
Elle a bien voulu faire ce 'posting' pour le blog et je l'en remercie.
Après le briefing du mardi matin, on attaque les contrôles de sécurité, de la pharmacie, des bidons de survie et le plombage de tous les Minis. Pour résumer, les contrôles de sécurité cela comprend le fait d'aller sur les bateaux 6.50 vérifier que , selon toute la check- liste que l'on nous a fourni et qu'il faut remplir, tout va bien, que tout est suffisamment sécurisé, fixé, fonctionnel et aux normes. Il faut aussi noter tous les numéros de VHF, des balises, des combinaisons de survie, relever touts les numéros de labels des voiles et puis en fin de compte signer le "TGC2015". Nous devons vérifier à part les pharmacies et les bidons de survie (eau+bidon) et les plomber à la fin du contrôle, c'est à dire empêcher que les skippers ne les ouvrent sans nécessité extrême. Pour aller plomber les batteries et le radeau de survie (c'est a dire se glisser dans le bazare des skippers, tout au fond du bateau). Il faut avant tout faire ceci afin d'éviter le matossage lors de la régate de choses aussi importante que le radeau qui doit toujours rester accessible depuis la trape de survie et les batteries qui sont dangereuses à déplacer pendant une navigation. |
À cause des forts coups de vent sur le front et des pressions au large du golfe de Gascogne, le prologue a été annulé et le départ repoussé plusieurs fois.
Comme la pression montait dans les rangs des skippers et de l'organisation, l'ANB a organisé une régate... d'Optimistes, ce qui a permis a tout le monde de décompresser avec euphorie!
Au début cela à été un moment ou l'on voyait les skippers et les autres personnes retomber en enfance, un grand bazar joyeux. On était tous très ravis
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L'aller France-Espagne à été très calme, avec de très jolies rencontres maritime et le monde marin, des dauphins nous ont salué plusieurs fois pendant la traversé et nous avons eu un tableau de pêche qui se résume à une très belle bonite.
Nous somme arrivé soulagés à Luanco de nuit, après le seul moment de stress de la traversé, à l'entrée du port avec 25N de vent et peu de visibilité.
Accueilli part les espagnols qui nous on gentiment conduit à la tente ou nous attendait une partie de l'equipe ,nous avons appris que d'autres bateau avait aussi rencontré des baleines, des globicéphales et une tortue.
Sinon nous avons beaucoup profité de l'escale pour faire différente choses, notamment voir différents aspects de Luanco de jour comme de nuit avec tout le monde, vu le superbe musée maritime lors de la remise des prix de la 1ère étape et avons eu droit à une baignade improvisé dans le port depuis le HANAMI II avec Lauren et Louis, etc...
Pour le retour, cela à été plus agité pour tous (beaucoup de prés par vent fort, suivi par une baisse de vent pour le restant de l'étape) mais ça à vraiment été une bonne navigation, la nuit et la lune étaient superbes!
À la VHF nous avons beaucoup entendu les bavardages des skippers, et avons également compris qu'il y avait deux cachalots dans les environs...
Et à la fin nous sommes arrivé au Sables, avons nettoyé le bateau et après avoir dit au revoir à un membre actif de notre équipage, avec Marc, Laurent, Louis et mon surf calé sur une couverture sur le toit de la voiture nous nous sommes dirigé vers Port Bourgenay afin d'attendre les minis qui faisaient des ronds dans l'eau en attendant que la marée remonte.
Par la suite avec Brigitte nous sommes allées vérifier les plombages sur les trois premiers de chaque catégories (proto solo, série solo, double proto, double série).
Le soir avec les skippers nous avons attendu joyeusement les derniers arrivant autour d'un BBQ.
En attendant la remise des prix, le programme avait été misé sur les réparations des bateaux et la détente, vu que juste après le dîner de la remise des prix, nous partions en convoyage des 6.50 avec Axel du 716, Frédérick du 800, Clément et Stéphanie sur le 802, Ludo du 667 en direction du port de la Trinité avec pendant une partie du voyage Ian et Simon convoyeurs qui allaient à Lorient.
Personnellement je rentre naviguer sur le class8, jusqu'à la fin du mois avec des convoyages prévus pour bientôt.
L'expérience de la Transgascogne m'a beaucoup aidé, cela m'a été bénéfique pour comprendre le monde de la voile, apprendre son fonctionnement, voir les différences de navigation entre un OVNI 445 et les minis 6.´50 qui sont tous les deux de superbes bateaux complètement différents sur les plans d'eaux mais très intéressants à comprendre tous deux.
J'ai passé de superbes moments avec toute l'équipe des bateaux accompagnateurs et des skippers
Je repart en espérant revoir ce beau monde pour Les Sables-les Açores 2016!
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