Contrairement aux previsions d'hier nous ne sommes pas sortis en mer ....
La raison est simple nous nous sommes leves trop tard, vers 11h, quelle honte diront certains, quel bonheur pourrons nous repondre.
Donc journee au port. Journee de maintenance du bateau en fait.
Revision et nettoyage de la pompe de cale qui avait grande besoin d'etre nettoyee.
En fait, lorsque le chantier livre un bateau, on pourrait s'attendre a ce que tout les residus de polyester et autres resines aient ete evacues et que les fonds soient propres.
Que neni. Dans des temps anciens peut etre, mais de nos jours, voyons, vous n'y pensez pas.
Version XVIIeme siecle, juste pour les "temps anciens":
Diriez vous aux chantier qu'un brin de nettoyage ne messieairait pas a leur reputation, il s'en esbaudiraient, pour le moins.
Peu leur chaut: le chaland se contente de ce qu'on lui octroie.
Donc, apres que la pompe ait ete remise en etat, que les filtres aient ete nettoyes et que les cales aient ete assechees nous nous sommes attaques aux amarres.
Donc, apres que la pompe ait ete remise en etat, que les filtres aient ete nettoyes et que les cales aient ete assechees nous nous sommes attaques aux amarres.
Le but etait de simplifier la tache d'Isabelle lors des departs et des arrivees au ponton.
Nous avons donc opte pour des amarres "a quai". Quand on part on les laisse, quand on revient on les recupere deja toutes attachees, il n'y a plus qu'a les frapper sur les taquets.
Bien sur cela n'est valable que pour les departs et les arrivees aux Sables. Ailleurs on revient a la methode traditionnelle.
Apres un journee si bien remplie, petite promenade en velo au bord de mer puis diner a bord.
Comme c'etait une journee de changement (si l'on peut dire), nous avons troque le poisson pour des cotelettes d'agneau au grill, ce qui a du faire saliver nos voisins de pontons (Anglais) car les "effluves" etaient impossibles a cacher.
Puis vaiselle (toujours avec un peu de changement) mais il ne faut croire que ca n'est arrive qu'aujour'hui.
Et enfin un planteur sur le Ramblais, accompagne par un orchestre Bresilien et ses danseuses qui nous ont gratifies d'une Samba endiablee.
Bonne journee donc.
A demain.
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RépondreSupprimerMerci de ceux que vous posterez.
Cela évoque une certaine époque c'était à St Mandrier, ou un certain rafiot du nom de Nathela connu un fameux épisode avec la drisse du foc,qui alla se percher en haut du mat ..... Cela valu les foudres du maître de séant !!!
RépondreSupprimerEtrange comme le processus de répétition se manifeste ,sacré bloggeur....blageur!!!
RépondreSupprimerTu es attendrissant mon cher Marc , je retrouve en toi ce côté caché mais c'est super ton truc
C'est la plonge comme du temps des Maurettes , mais c'est mieux équipé....Il faut dire que depuis la techno a évoluée ....Bien sûr!!!!!
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